la petite bête du jour

Chaque jour (si possible) la rencontre avec un petit animal observé dans le jardin ou dans la campagne alentour.

30 septembre 2009

 
30 septembre, ils ne tiennent pas en place.

La saison des nids se termine pour les polistes, voici maintenant la saison des amours. Un peu partout volent des mâles très agités, ils se posent ici font un brin de toilette et repartent aussitôt pour revenir peu de temps après sur ce même perchoir ensoleillé. Ils sont bien nombreux et je me demande combien d'entre-eux auront le privilège de s'accoupler avec une futur reine avant de mourir ?


29 septembre 2009

 
29 septembre, la plus belle.

Voici une photo, prise le 14 août dernier, de la plus grande et aussi la plus belle de nos Eumenes, Delta unguiculatum. C'est la moins mauvaise d'une série de photos de ce qui demeure ma plus belle observation de cette espèce. Il s'agissait d'un mâle (antennes coudées à l'extrémité, ce n'est pas visible sur cette photo) qui venait s'alimenter brièvement sur de la menthe. Les Eumenes semblent apprécier particulièrement cette plante. L'an prochain j'espère y observer une femelle, nettement plus grande.


28 septembre 2009

 
28 septembre, un petit mystère.

Rien de surprenant que cette guêpe germanique, Vespula germanica, racle les poteaux en bois pour récolter de la matière première pour son nid, tout comme le frelon c'est le matériau utilisé habituellement.














C'est bien plus surprenant d'observer cette guêpe là faire la même chose. Il s'agit d'une Eumènes appelée aussi guêpe potière car c'est en avec de la terre mélanée à sa salive qu'elle construit habituellement son nid. Pourquoi donc celle-ci récoltait-elle de la fibre de bois ? Mystère.

01 septembre 2009

 
1er septembre, le petit boomerang.

Tout le monde souffre un peu de la chaleur et de la sécheresse en ce moment, quelques arbres montrent de sérieux signes de fatigue. Le cerisier a décidé de commencer à se séparer de ses feuilles, petit à petit elles tombent. De temps en temps un petit oiseau rondouillet, perché sur le cerisier, se laisse lui aussi tomber au sol mais à chaque fois il remonte sur la branche comme tiré par un invisible élastique. Le Gobe-mouche noir a déjà revêtu son plumage hivernal et comme tous les ans notre jardin fait partie des escales sur la route de migration, il ne s'attardera pas mais l'an prochain il reviendra, peut-être sur cette même branche.


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